Comme dans toutes les assemblées annuelles, celle-ci s'est d'abord ouverte sur un petit discours:
Le thème en était "l'authenticité".
Il a été souligné l'importance d'être "vrai", dans nos discours comme dans nos actes, et cela n'est possible qu'à la condition que nos paroles soient en harmonie avec notre pensée. La pensée essentielle, dans ce cadre du Conseil National de Transition de France, c'est le "Bien commun", la justice, l'équité.
C'est d'autant plus important que nos concitoyens ne s'y tromperont pas: ils sauront vite faire la différence avec les discours préparés, frelatés, de politiciens qui jamais n'expriment ce qu'ils pensent car ils doivent avant tout "complaire", s'ils veulent obtenir des voix et réussir leur carrière.
Bien que cette réunion ait eu lieu au mois d'août et dans le sud de la France, plus d'une vingtaine des principaux dirigeants étaient présents dès le vendredi 24.
Après cette introduction, EUREKA ! Il semble que nous ayons enfin trouvé comment provoquer le changement tant espéré. L'idée est soumise et aussitôt approuvée par tous. A partir de cet instant, nous savons tous quoi faire et que tout commence par la diffusion du journal du CNT : la gazette (d'ores et déjà disponible sur le site web pour être imprimée).
Puis le trésorier présente la clôture du bilan pour l'année. Il en résulte que nous devons faire un effort "commercial". En effet, les donations et enregistrements des cartes de membre ne suffisent pas à couvrir les dépenses, et cette année encore, ce sont trois membres qui ont dû compléter de leur poche pour assumer les frais (Eric Fiorile, Delphine Cosme et Marie Lys pour un montant total d'environ 6.000 euros).
L'analyse révèle l'importance des cartes de membre et le surcoût des tracts et affiches. L'accent sera donc porté sur l'acquisition de rentrées régulières et la diffusion du journal "La Gazette" à la place des tracts et affiches.
La réunion se clôture par la nomination d'un expert-comptable comme trésorier principal, assisté d'un Trésorier permanent, d'une nouvelle secrétaire et de plusieurs vice-présidents. Il est bien entendu que toutes ces fonctions ne sont que des "obligations" auxquelles certains membres acceptent de se soumettre sans en tirer le moindre profit, ce qui est aussi le cas de plusieurs responsables de commissions. Le Conseil National de Transition reste avant tout une union de Français engagés pour le "Bien Commun" de la nation, et disposés à oeuvrer tous ensemble pour mener cette opération de rétablissement d'un "État de Droit".
La réunion se clôture par la nomination d'un expert-comptable comme trésorier principal, assisté d'un Trésorier permanent, d'une nouvelle secrétaire et de plusieurs vice-présidents. Il est bien entendu que toutes ces fonctions ne sont que des "obligations" auxquelles certains membres acceptent de se soumettre sans en tirer le moindre profit, ce qui est aussi le cas de plusieurs responsables de commissions. Le Conseil National de Transition reste avant tout une union de Français engagés pour le "Bien Commun" de la nation, et disposés à oeuvrer tous ensemble pour mener cette opération de rétablissement d'un "État de Droit".
En soirée, le docteur Maurice Gillard donne une conférence sur la santé, parlant de son expérience d'acupuncteur en Chine, puis de son activité en France en médecine holistique. Il expose aussi les combats qu'il a mené dans sa région contre le gaspillage et la corruption politique.
Le samedi après-midi, parmi les nombreux visiteurs et dirigeants de mouvements dissidents, nous recevons Denis Collinet du mouvement "Les Barjols" , qui, comme nous, est convaincu de l'importance de contacts réels et de réunions physiques avec les principaux résistants contre la dictature "En marche". Olivier Fardel, youtubeur et critique-analyste de la dissidence, se joint à nous pour réaliser une vidéo (dont extraits ci-dessous).
EUREKA : Si nous avons enfin trouvé comment provoquer le changement de paradigme, (nous ne pouvons bien sûr pas annoncer le plan), la réussite va dépendre de tous les volontaires qui se joindront plus ou moins rapidement à notre action de rédaction-diffusion du journal du CNT.
TOUT COMMENCE À PARTIR DE LÀ : dès que ce journal sera disponible dans toutes les boulangeries, salons de coiffure, salles d'attente, épicerie, Presse et tabac, etc. dans toute la France, nous serons proches de la réussite !
Bravo aux membres du CNT d'abord pour le courage de s'attaquer à cette puissante oligarchie de la république, puis du temps consacré à cette noble cause. L'organisme du CNT, est le seul qui a la légitimité nécessaire pour enlever le pouvoir des mains d'usurpateurs. Toutefois, il est indispensable que l'armée prenne enfin ses responsabilités pour épauler le CNT.
RépondreSupprimerbonjour,
RépondreSupprimerje suis contente qu'enfin des personnes commencent enfin a prendre des initiatives pour sauver notre pays,je vous suis depuis le début et je vois que cela prend de l'ampleur,merci de nous redonner de l'espoir,je vous souhaite bien du courage,a mon niveau,j'ai commencé a faire des photocopies que je vais déposer dans les boites aux lettres de mon immeuble!!
Bonjour à tous et à toutes, et toute mon admiration et respect pour votre Sens du Devoir...le VRAI !.
RépondreSupprimerA votre contact, c'est certain, on se sent fier d'être de " ces gaulois" ! N'en déplaisent à "César"...
Ceci-dit, et vraiment pour apporter quelque chose de constructif à propos de l'idée de la Gazette, je pense qu'elle présente un sérieux problème, en terme d'image. En, 39-45, personne ne criait sur les toits qu'il était dans la résistance, alors comment voulez-vous que des commerçants, devant protéger l'image de leur négoce, acceptent "d'afficher sur leurs produits" (c'est une image) leur appartenance à un mouvement dissident, sérieux et légitime, certe, mais capables de leurs faire perdre aussi des clients ... Certains n'hésiteront pas à collaborer, et je salue leur engagement, mais je crains que la majorité soit sérieusement réticente.
Comment franchir cet obstacle ? Par l'image ! Et là je parle de techniques publicitaires, car tout se joue sur ce plan là, qu'on le veuille ou non (Mitterrand et bien d'autres l'avait compris). Moi, si je devais faire accepter les messages forts du CNTF vers le plus grand nombre, à travers un journal (que je comparerais à un "produit" plutôt difficile à "vendre"), je n'écrierais pas une seule ligne avant de construire une image qui soit une véritable "arme de guerre" éditoriale. C'est du pur "merchandising" anglo-saxon, avec tout ce que ça a de rebutant et de contraire avec les fondements mêmes de votre action, mais 100% des "combats" actuels se joue et se gagne de nos jours sur l'Image, et vous ne pouvez pas l'ignorer...sans en devoir payer le prix. Trouvez un publiciste capable de donner de l'éclat et de la séduction à votre action car oui, on en est là, en attendant de changer les choses. Nous sommes au milieu d'une guerre, une vraie, gagnez la guerre de l'image et vous vous éviterez peut-être d'avoir à engager un autre type de guerre. J'espère n'avoir froissé personne, car j'ai trop de respect pour des gens capables de se confronter à "Goliath", c'est courageux, noble, digne, audacieux...donc vraiment pas à la mode ! BRAVO et beaucoup de succès à venir !!!